👋 À travers différentes expériences en tant qu'éducateur, entraineur en France, au Canada ou en Corée du Sud, j'ai eu l'occasion de faire de très belles rencontres. Que ce soit des entraineurs, des éducateurs, des enseignants, aussi différents qu'ils puissent être, il m'arrive très souvent de prendre conscience que je m'enrichis de rencontres sur mon parcours. Des anecdotes, des enseignements, des conseils, des astuces techniques ou des habitudes de vie, voici les apprentissages que je vais pouvoir partager en leur donnant la parole. Je suis persuadé que leurs parcours pourraient inspirer au moins une autre personne comme cela a pu être le cas pour moi.
M'expatrier pendant quelques mois. Faire des rencontres. Faire une rencontre. S'aider, se soutenir, collaborer et me faire inviter à son mariage quelques semaines, quelques mois après.
Evidemment, je dis oui. Et, avec son accord, je raconte une nouvelle histoire, une partie de son histoire à travers mon histoire
J'ai beaucoup échangé avec Sylver Castagnet concernant le football autour du monde. Alors que nous étions dans une période où nous échangions beaucoup autour de l'émission " J'irai entrainer chez vous ", nous cherchions une idée de projet. Evidemment, c'était une discussion comme une autre. Un jour comme un autre, je tapais sur google quelque chose qui ressemble à " J'irai entrainer chez vous ". C'est là que je tombais sur le projet de Romain Garcia.
Sur Twitter, sur youtube, sur son site internet, je me mettais à suivre l'aventure. Lui, il avait osé ce que j'avais en tête. Pendant plusieurs mois, j'ai suivi son projet assidument, passionnément. Sénégal, Maroc, Vanuatu, Australie, Bolivie, Brésil, Pérou, Nouvelle-Calédonie et j'en passe.
Avoir un projet, décider de le réaliser, s'organiser, voyager, utiliser le football comme un levier d'intégration, d'échanger, de partage et vivre l'expérience d'une vive.
En lançant le podcast, j'avais la certitude qu'un échange avec Romain avait toute sa place pour moi. J'allais pouvoir poser toutes mes questions.
Forcément, lorsque j'ai pu le contacter et qu'il a finalement décidé d'accepter, j'étais ravi. Ravi de pouvoir échanger avec lui. Ravi de pouvoir le rencontrer. Ravi de pouvoir comprendre comment il a décidé de se lancer, d'organiser son projet. Ravi de pouvoir écouter ses histoires. Et surtout ravi de pouvoir partager son aventure avec ceux qui écouteront.
Vous pouvez retrouver le projet de Romain Garcia via ses différents réseaux :
Site Internet : https://www.jiraientrainerchezvous.com/
Twitter : @JIECV
Instagram : Jiecv / Football.mission
Mail : jiraientrainerchezvous@gmail.com
Se retrouver dans l'épisode :
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00:04:00 : Présentation de Romain
00:10:00 : Qui est ton père
00:14:00 : Pourquoi enfant du monde ?
00:33:00 : Ses influences d'entraineurs
00:50:00 : Présentation de l'association Football Mission
01:15:00 : Le Vanuatu
01:20:00 : Le Brésil
01:38:00 : Le Sénégal
01:45:00 : L'impact des voyages
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Lancé en Corée du Sud en mars 2020, l'aventure du podcast Footballagogie continue.
A l'approche des 2000 écoutes en 8 mois, je souhaitais donner quelques nouvelles. La remise en question, les pistes d'évolution, le passage de 160 abonnés à 90 en quelques semaines, la nécessité d'envisager quelques pistes d'améliorations. Et peut-être de me demander, est-ce que le partage est légitime si le contenu n'est pas de qualité ?
Il y a de cela quelques semaines que j'abordais déjà les bénéfices de mon parcours universitaires. Tout l'intérêt d'y avoir développer un réseau. Avoir par cette occasion pu être mis en relation avec des parcours différents du mien malgré un centre d'intérêt commun pour le football. Pour le partage de cette discipline et surtout, au regard d'une éducation et d'une expérience différente, d'une autre façon de vouloir le transmettre.
Cette possibilité de pouvoir confronter des opinions, des positions, de prendre également du recul par rapport à celle-ci avec néanmoins le souhait d'être dans un long chemin de progression. D'agir au quotidien avec le souhait de vouloir progresser en ayant conscience que le chemin sera long et parsemé d'embûches. Malgré cela, convaincu que la passion persistera.
C'est avec cette perception semblable que j'ai pu durant toutes ces années, rester en contact avec Baptiste avec la possibilité de pouvoir échanger de temps en temps et s'en apercevoir parfois sur les terrains de football.
De très loin, mais avec une curiosité constante, j'ai pu continuer à observation son opiniâtreté à s'engager pleinement dans le football. A y mettre autant de coeur. Malgré un environnement parisien qui peut pourrait parfois être décourageant selon mon unique avis ayant côtoyé cette univers et en y étant constamment associé par un passé qui ne s'oublie pas. Cela tombe bien parce que c'est aussi dans cet univers que cela a commencé pour moi, à mon plus grand bonheur.
Une nouvelle fois l'occasion pour moi d'y remettre les pieds. Avec un peu de recul mais surtout de vouloir m'y plonger à nouveau avec peut-être un autre regard et surtout d'y retourner par le biais d'une nouvelle histoire.
Si vous avez des questions pour Baptiste Borello, vous pouvez le joindre via ces coordonnées :
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Twitter : batCorsica
Facebook : Baptiste Borello
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Se retrouver dans l'épisode :
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00:15:30 : Présentation de Baptiste Borello
00:22:00 : Impact des blessures dans le parcours des joueurs - Ecouter son corps
00:47:00 : Le climat d'apprentissage
00:55:00 : Arrivée à Sannois Saint Gratien
01:10:00 : Découvrir le football Corse
01:42:00 : U17 Nationaux à l'Entente Sannois Saint Gratien
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Retrouver des publications scientifiques : PUBMED
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Les podcasts que nous abordons dans cet épisode :
Episode 14 avec Kevin de Jesus : https://podcasts.google.com/feed/aHR0cHM6Ly9mb290YmFsbGFnb2dpZS5sZXBvZGNhc3QuZnIvcnNz/episode/NWY2M2VkMDNjYjMxNGMwZTA2ZTM4YmEw?sa=X&ved=0CA4QuIEEahcKEwiI9fio79jsAhUAAAAAHQAAAAAQAQ
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Le voyage continue ..
0,92. Voilà le taux de fécondité l’an dernier en Corée du Sud. Moins d’un enfant par femme. Le chiffre a été publié mercredi 26 février. Il n’a jamais été aussi faible. Et c’est le taux le plus bas au monde. C’est deux fois moins qu’en France. Au dernier trimestre 2019, ce taux est même tombé à 0,88 en Corée du Sud. Et pour la première fois depuis 40 ans, la population du pays a diminué au mois de novembre : 25 400 décès dans le mois, pour seulement 23 800 naissances. Cette évolution est d’autant plus préoccupante que la population vieillit rapidement. Parce que l’espérance de vie est élevée en Corée du Sud : 86 ans pour les femmes, 80 ans pour les hommes. Aujourd’hui, sur les 52 millions d’habitants que compte le pays, le nombre de personnes âgées de 65 ans et plus est supérieur au nombre de jeunes âgés de moins de 15 ans. Allons plus loin, faisons un peu d’anticipation, à partir de ces statistiques : au rythme actuel, en 2067, l’âge moyen en Corée du Sud sera de 62 ans, pour seulement 39 millions d’habitants, 13 millions de moins qu’aujourd’hui.